BRAHOUA mobio Victor Charlemagne, poursuivi par la police judiciaire du 33ème arrondissement à cause d’une simple bagarre, s’est jeté dans la lagune. Se noyant, un certain DJOROGO en compagnie de la police judiciaire empêche qu’il soit sauvé sous le regard de ladite police. BRAHOUA a été retrouvé mort quelques jours après.
𝐋𝐞𝐬 𝐟𝐚𝐢𝐭𝐬 :
Le jeudi 14 novembre 2024 à Port Bouet précisément sur le territoire du village d’Abouabou, village situé à 5 km de l’aéroport Félix Houphouët-Boigny une bagarre a eu lieu entre des jeunes.
À l’issue de cette bagarre, DJOROGO Danho Toussaint s’est saisi de la police du 33ème arrondissement de Port-Bouet contre
BRAHOUA mobio Victor Charlemagne sans que ce dernier n’en soit informé. Mieux il n’a jamais été convoqué par le commissariat.
C’est le lundi 25 novembre 2024 à 23heures qu’il a été confronté aux éléments de la PJ du 33ème arrondissement à la gare de pirogue du village d’Abouabou.
Revenant de la ville, une fois à la gare de pirogue BRAHOUA est saisi par DJOROGO de toutes ses forces, DJOROGO interpelle les hommes de la Police Judiciaire, qui étaient cachés attendant le guet-apens. BRAHOUA réussit à s’échapper et se jette dans la lagune pour essayer de traverser à la nage.
Aperçu en train de se noyer, le chauffeur de la pirogue motorisée qui a voulu aller le sauver a été bloqué par DJOROGO sous le regard des des éléments de la police judiciaire. BRAHOUA est perdu de vue. C’est quelque jours après, le mercredi 27 novembre 2024 que son corps a été retrouvé au bord de l’eau dans les environs de la partie lagunaire du 43e BIMA à 7heures. BRAHOUA mobio Victor Charlemagne était âgé de 25 ans.
Les villageois sur le lieu de
l’événement sont tous prêts à témoigner là où il faut afin que justice soit faite. Ce n’est pas la première fois que le commissaire du 33ème arrondissement s’en prenne au village d’Abouabou. Autrefois, le commissaire avait méprisé et humilié le Chef du village et tous ses notables qui sont arrivés en retard à son rendez vous au commissariat. Malheureusement il y a eu
le pire aujourd’hui.
Source
Chefferie d’Abouabou