La Côte d’Ivoire entre dans l’histoire avec KPANDJI, première marque automobile locale. Fondée par M. Kouamé N’Da N’Goran, cette entreprise propose déjà plusieurs modèles, dont les 4×4 CAVALY et DJETRAN. L’accueil enthousiaste du public témoigne de l’ambition et du potentiel de cette industrie naissante.
Encourager la production nationale

Les grandes puissances privilégient leurs produits locaux. L’État ivoirien doit s’inspirer de ces politiques en instaurant des mesures fortes. Une fiscalité avantageuse pour KPANDJI réduirait les coûts et attirerait des investisseurs. De plus, l’achat de ces véhicules par les institutions publiques enverrait un signal fort en faveur du « consommer local ».
Le rôle des Ivoiriens dans cette réussite

Les citoyens doivent soutenir cette initiative en achetant et promouvant ces véhicules. Un changement de mentalité est nécessaire pour valoriser les produits nationaux. C’est pourquoi le ministre Ahoua Don Mello s’est offert une belle Kpandji. Des incitations, comme des crédits automobiles avantageux ou des subventions, pourraient aussi encourager cet élan patriotique.
Les bénéfices pour l’économie nationale

Le développement de KPANDJI renforcerait l’industrie locale, créant des milliers d’emplois. Cette dynamique stimulerait l’innovation et attirerait des investisseurs étrangers. De plus, une industrie automobile forte réduirait la dépendance aux importations et améliorerait la balance commerciale du pays.

La Côte d’Ivoire doit saisir cette opportunité historique. L’État, les entreprises et les citoyens ont un rôle clé à jouer pour assurer le succès de KPANDJI. Soutenir cette initiative, c’est investir dans l’avenir du pays.
Germain Séhoué
