Permettre aux usagers de la route, véhicules, motos et les camions poids lourds d’éviter des pannes mécaniques cuisantes en pleine circulation, c’est le travail que fait chaque jour la société ivoirienne de contrôle technique automobile (SITCA). Cette structure de contrôle technique des engins à quatre roues et deux roues a été ouverte en octobre 2017 afin de permettre aux usagers de la route à ne plus aller jusqu’à Daloa, Yamoussoukro pour une visite technique.
Au dire de M. Konan N’guessan chef de la station de SITCA de Bouaflé, des véhicules légers, poids lourds et les motos ont souvent des phares défaillants et aussi le réglage du parallélisme qui n’est souvent pas normal qu’il faut régler sur place.
Le directeur régional de la SITCA révèle que la visite technique est pour soi-même et celle des autres occupants du véhicule et de moto. Selon le directeur régional de la SITCA de Bouaflé, nous recevons 376 motos en visite en trois mois et 325 véhicules pour le paiement des vignètes, de la carte grise et la visite technique chaque trois mois et un an pour les gros camions de 30 tonnes.
Avant l’ouverture véritable de la SITCA à Bouaflé, explique Konan N’guessan chef de station pour servir toute la région de la Marahoué, des missions périodiques se faisaient à partir de Bouaflé dans les villes de Bonon, Sinfra et Zuenoula.
Aujourd’hui ce n’est plus le cas, indique le directeur régional. C’est une grâce pour l’ouverture de la SITCA à Bouaflé. Les automobilistes et les cyclistes de la région de la marahoué sont servis désormais sur place.
Il faut signaler que plusieurs taxis communaux de Bouaflé roulent sans vignète et carte grise.
SYLVAIN GADOU BI